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Pensée du lundi 1 novembre 2004

Mort - dans la Mort nous n’emportons pour seuls biens que nos qualités et vertus

Calculez le temps que vous passez chaque jour à manger, dormir – ce qui est bien sûr utile, indispensable – mais aussi à parler à tort et à travers, à vous occuper de futilités. Les années passent ainsi loin de la vraie vie, de la vie avec Dieu. Quel gâchis, quel gaspillage! Et c'est ainsi que le jour où vous quitterez la terre, vous partirez pauvre et nu. Pénétrez-vous bien de cette pensée qu'en quittant la terre, vous n'emporterez pour toutes pierres précieuses que vos seules vertus, pour tout or votre seul savoir et pour tout vêtement les seules parures de votre âme. En quittant le monde, on est comme ces gens qui, chassés de chez eux, sont obligés de laisser leurs terres, leurs maisons, leurs meubles: ils se précipitent vers leurs coffres pour prendre l'or et les bijoux, qui sont les seules choses grâce auxquelles ils pourront survivre. Oui, lorsque la mort arrive, on ne peut se précipiter que sur ses qualités et vertus, il faut abandonner tout le reste. Demandez-vous donc dès aujourd'hui si vous possédez l'or et les pierres précieuses véritables.

Omraam Mikhaël Aïvanhov


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